7 août 2009
ça passe.
Il parait que par moments je contiens trop.
L'inéluctable envie qui me pousse à toujours courir,
au devant d'ennuis ou de baisers toujours plus incertains.
En même temps les deux vont ensemble.
J'ai laissé ma porte ouverte bien des fois,
la distance entre le pas et le cœur est fine
ni mon cri ni ma fièvre ne sont complets
et je rêve d'un souvenir posé sur un seul tranchant.
je crois
je br oi e
j'inspire
t o u t
sauf la conscience.
[confiance]
J'ai oublié, beaucoup.
Nous avons besoin de bruit, de choses enivrantes.
Du vent.
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